Les Centristes - Le Nouveau Centre

Les Centristes
Image illustrative de l’article Les Centristes - Le Nouveau Centre
Logotype officiel.
Présentation
Président Hervé Morin
Fondation
(Nouveau Centre)

(Les Centristes)
Scission de UDF (2007)
UDI (2017)
Scission dans Force européenne démocrate (2012)
Siège 88, rue de Varenne, Paris 7e
Vice-présidents Catherine Morin-Desailly
Jean-Léonce Dupont
Yvan Lachaud
Rudy Salles
Trésorier Charles de Courson
Positionnement Centre droit[1],[2],[3] puis centre
Idéologie Social-libéralisme
Démocratie chrétienne
Europhilie
[réf. nécessaire]
Affiliation nationale L'Alliance républicaine, écologiste et sociale (2011-2012)
UDI (2012-2017)
Adhérents 500 (2019)[4]
8 000 revendiqués (2018)[5]
Couleurs Bleu et rouge
Site web les-centristes.fr
Présidents de groupe
Assemblée nationale Stéphane Lenormand (LIOT)
Sénat Hervé Marseille (UC)
Parlement européen Manfred Weber (PPE)
Représentation
Députés
2  /  577
Sénateurs
8  /  348
Députés européens
0  /  79
Présidence de conseils départementaux
2  /  95
Présidence de conseils régionaux
1  /  17
Conseillers régionaux
12  /  1758
Maires de communes de plus de 30 000 habitants
1  /  279

Les Centristes (abrégé en LC), dénommé Les Centristes - Le Nouveau Centre depuis 2018, est un parti politique français de centre droit fondé en 2007 sous le nom de Parti social libéral européen, connu sous le nom de Le Nouveau Centre (abrégé en NC) de 2007 à 2016. Son orientation est social-libérale, démocrate chrétienne et pro-européenne[réf. nécessaire].

Le parti est fondé par d'anciens membres de l'Union pour la démocratie française (UDF), en opposition avec l'orientation donnée au parti par François Bayrou à compter du second tour de l'élection présidentielle de 2007. Allié de l'UMP, le Nouveau Centre inscrit son action, de 2007 à 2012, au sein de la « majorité présidentielle » de Nicolas Sarkozy. Il regroupe 23 députés au sein de son groupe à l'Assemblée nationale et participe à tous les gouvernements de François Fillon.

En son président Hervé Morin déclare sa candidature à l'élection présidentielle, à laquelle il renonce en pour soutenir celle de Nicolas Sarkozy. À la suite de sa défaite, le parti fait partie des forces politiques à l'origine de la fondation de l'UDI en .

En 2014, Hervé Morin échoue à succéder à Jean-Louis Borloo à la présidence de l'UDI. Après une prise de distance progressive, le parti, renommé Les Centristes en 2016, quitte la confédération centriste en , notamment par opposition à la volonté de Jean-Christophe Lagarde de rompre l'alliance nationale de l'UDI avec LR, présidés par Laurent Wauquiez.

  1. (en) Wolfram Nordsieck, « Parties and Elections in Europe », sur parties-and-elections.eu (consulté le ).
  2. (en) « European Social Survey. Appendix A3 political parties », sur europeansocialsurvey.org, (consulté le ).
  3. Raphaël Tual, « Hervé Morin, président de la Normandie, veut créer un nouveau parti de « droite ouverte » », 27actu (Publihebdos, groupe Ouest-France),‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. « Comptes des partis et groupements politiques », .
  5. Philippe Bette, « Lyon : le maire centriste du 2e arrondissement quitte l'UDI », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).

© MMXXIII Rich X Search. We shall prevail. All rights reserved. Rich X Search